Croyez-le ou non, les faux yeux existent depuis des milliers d’années. En plus d’améliorer l’apparence physique du patient utilisant l’œil artificiel, les faux yeux empêchent également les tissus de l’orbite de proliférer et empêchent les débris étrangers d’endommager l’œil sans bandeau ni cache-œil. Bien que les prothèses puissent sembler être un développement médical plus récent, elles ont en fait l’une des origines les plus anciennes de l’histoire médicale.
L’œil prothétique le plus ancien du monde, par exemple, a été découvert dans la “ville de Burt” en Irak en 2006. Les archéologues ont déterminé que cet œil date d’environ 2900-2800 avant JC et qu’il était encore incrusté dans l’orbite du crâne d’une femme.
La découverte de cet œil révèle l’histoire complète des prothèses, c’est-à-dire les yeux, les jambes et les bras. L’artisanat détaillé de l’œil révèle également les premières idées concernant la lumière, la vue et le but des prothèses. En analysant la structure, l’emplacement et le but de la prothèse appropriée, nous pouvons en savoir plus sur la ville de Burt elle-même ainsi que sur la façon dont cette création a façonné le progrès médical au fil du temps.
L’œil prothétique le plus ancien du monde, par exemple, a été découvert dans la “ville de Burt” en Irak en 2006. Les archéologues ont déterminé que cet œil date d’environ 2900-2800 avant JC et qu’il était encore incrusté dans l’orbite du crâne d’une femme.
La découverte de cet œil révèle l’histoire complète des prothèses, c’est-à-dire les yeux, les jambes et les bras. L’artisanat détaillé de l’œil révèle également les premières idées concernant la lumière, la vue et le but des prothèses. En analysant la structure, l’emplacement et le but de la prothèse appropriée, nous pouvons en savoir plus sur la ville de Burt elle-même ainsi que sur la façon dont cette création a façonné le progrès médical au fil du temps.
L’œil a été trouvé dans les restes d’une femme estimée à six pieds de haut, et la preuve physique de l’œil confirme qu’il aurait été travaillé pendant sa vie plutôt que d’être inséré après sa mort. Ils ont estimé que la femme avait entre 25 et 30 ans au moment de sa mort.
Les archéologues qui ont découvert le faux œil disent que l’œil prothétique était fait d’un mélange de goudron naturel et de graisse animale, ce qui l’a probablement gardé humide et durable pendant son utilisation il y a 4 800 ans. Ceux qui étudiaient l’œil étaient fascinés par l’artisanat détaillé. L’œil avait des capillaires individuels tirés avec du fil d’or de moins d’un demi-millimètre d’épaisseur.
Une pupille circulaire a été sculptée à l’avant avec des lignes parallèles dessinées autour d’elle pour former un iris en forme de diamant. Deux trous avec du fil d’or ont été trouvés de chaque côté du globe oculaire artificiel, ce qui illustrait comment l’œil serait resté à côté de son orbite. Ce fil d’or doux aurait rendu le sertissage tout en fournissant le soutien nécessaire pour empêcher l’œil de tomber. Ils auraient également aidé à laisser l’œil bouger doucement dans son orbite.
Les archéologues ont trouvé plusieurs récipients en argile, des perles ou des perles d’acier et des bijoux sur la tombe de la femme maîtresse. Ils trouvèrent également un sac en cuir et un miroir en bronze, tous deux toujours d’excellente qualité. Ces découvertes ont amené les archéologues à croire que cette femme avait un statut social élevé et était peut-être un membre de la famille royale.
Seuls les individus de statut social significatif auraient eu de tels bijoux ornés, de l’argile, du cuir et du cuivre. Cela soutiendrait également sa raison d’avoir un faux œil. Si elle était dans une position de pouvoir ou de haut rang, elle aurait eu besoin de l’œil pour maitriser son apparence physique et aurait été l’une des rares à disposer des ressources financières nécessaires pour personnaliser un œil artificiel qui lui convenait.